accessibles

Dans la vie du peintre peut-être la mort n’est pas ce qu’il aurait de plus difficile.

Moi je déclare ne pas en savoir quoi que ce soit, mais toujours la vue des étoiles me fait rêver, aussi simplement que me donnent à rêver les points noirs représentant sur la carte géographique villes et villages. Pourquoi me dis-je, les points lumineux du firmament nous seraient-ils moins accessibles que les points noirs sur la carte de France ?

Vincent van Gogh, « Arles, juin-juillet 1888 », Lettres à son frère Théo, Gallimard, p. 380.

David Farreny, 2 juil. 2009

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