clausule

Théodore le Syncelle emploie avec prédilection la clausule didactylique, cette combinaison fixe de longues et de brèves qu’on rencontre aussi en abondance chez d’autres auteurs byzantins tels que Théophylacte Simocatès ou Jean l’Aumônier. Et après tout, pourquoi pas : tout n’est-il pas louable, en un sens ? Mais pour un désespéré, la clausule didactylique n’est d’aucune utilité. Tandis que le taupicide !

Olivier Pivert, « Prose métrique et homicide de soi-même », Encyclopédie du Rien. 🔗

David Farreny, 23 juin 2024

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