jeunes

Et les jeunes. LES JEUNES. Nom de Dieu. Leur pâle crétinisme transperçant comme une pluie de février. Le gâtisme juvénile de ces poupées de cire. De ces croque‐morts en fleurs. Ah ! comme Mitterrand colle bien avec la jeunesse, l’effroyable jeunesse d’aujourd’hui qui se prend pour l’avenir, alors qu’elle n’a même pas de passé (il faudrait qu’elle ait des parents) et que le présent est mort !

Philippe Muray, Ultima necat (VI), Les Belles Lettres, p. 16.

Jérôme Vallet, 28 juil. 2024

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