fermeture

« Rien de terrible n’est jamais achevé, rien de mauvais ne s’améliore ; il ne faut pas être trop sérieux. » Tel est le message des années 40 auquel, hélas, il ne semble pas possible d’échapper, car l’heure de fermeture a sonné dans les jardins de l’Occident et désormais un artiste ne sera jugé que par la résonance de sa solitude ou la qualité de son désespoir.

 

[“Nothing dreadful is ever done with, no bad thing gets any better; you can’t be too serious.” This is the message of the Forties from which, alas, there seems no escape, for it is closing time in the gardens of the West and from now on an artist will be judged only by the resonance of his solitude or the quality of his despair.]

Cyril Connolly, « décembre 1949 - janvier 1950 », Horizon.

David Farreny, 3 oct. 2024

mot(s) :

auteur :

rechercher 🔍fermer