œuvre : « Friches » n° 50, printemps 1995, Lionel Ray
cloporte

C’est pourquoi je ne puis être ni plus ni moins malheureux qu’un chien, même si mes vers tracent des parallèles dans le monde, unissant toute chose à l’autre : azur et cloporte, crépuscule et volet.

Lionel Ray, « Suite mansonienne (I) », « Friches » n° 50, printemps 1995.

David Farreny, 3 mars 2008

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